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16 juin 2013 7 16 /06 /juin /2013 16:31

 

LE COMBAT ANTIFASCISTE LOCALEMENT CONTINU AU SEIN DE LA

RESISTANCE ANTI-FASCISTE DE L'INDRE

 

RAFI-logo-site-02.jpg

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 10:35

Tract-manif-2-mars-.jpg

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 11:49

Le syndicalisme dans l'Indre

une liberté fondamentale

                

        

             Dans la poursuite de toutes les initiatives, Les organisations syndicales ont lancées la pétition qui est en ligne : "Ils n'écra­seront pas le syndicalisme".La ville de Châteauroux(36) veut ex­pulser les Unions Départementales de syndicats des locaux dont el­les disposent,  les priver  de moyens d’existence, réduire à néant leur activité syndicale sur le plan territorial dans sa dimension inter­professionnelle; le masque tombe quant aux finalités recherchées par la ville de Châteauroux (36)!.

         L’exercice d’une liberté fondamentale, le syndicalisme  son ef­fectivité et la responsabilité des pouvoirs publics dans ce domaine ne peuvent laisser indifférent la classe ouvrière.

         A ce jour la ville de Châteauroux a résilié les contrats d’eau, d’électricité et de gaz.

         Vous pouvez faire suivre l’info.

 

UD CGT ORGA ALINE PORNET

 

 

SIGNER LA PETITION :

 

http://www.petitions24.net/le_syndicalisme_dans_lindre_une_liberte_fondamentale

 

 

 

http://www.cgt.fr/INDRE-UD-CGT.html

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 17:00

affiche-lyon-antifa-2

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7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 11:46
[Préparons-nous à défendre les cabanes de la ZAD de leur destruction!] Expulsion massive de la ZAD pour le 11 Décembre?

De nombreuses sources prévoyaient une expulsion massive des occupant-e-s de la ZAD, avec destruction de toutes les cabanes construites avant/après le 17/11, pour le 5 Décembre.

 

Le jugement d’expulsion (le 04/12) différé au 11/12, pour les cabanes de la châtaigneraie, a sans doute perturbé quelque peu les plans du préfet, de Mister Ayrault’porc et de la mafia Vinci…

 

Ils s’attendaient sans doute, comme nous d’ailleurs, que la justice allait suivre leur demande de destruction des cabanes sous les 48h. Les deux arrêtés d’interdiction de transporter des produits inflammables et essence pris par le préfet, pour cette semaine, auront ainsi été des plus ridicules… surtout qu’il est impossible pour eux/elles de contrôler toute la zone ! (à part quelques carrefours qu’ils tiennent plus ou moins chaque jour).

La ZAD est donc toujours sous contrôle militaire (très) partiel, avec de nombreuses fouilles de véhicules, contrôles de papiers et surtout interdiction de transport de matériaux de construction, ce qui n’est pas précisé dans un arrêté…mais bon sous le PS, on a compris depuis longtemps qu’on vit comme en état de guerre et que nos libertés ne sont pas très importantes…

Cela n’empêche pas les camarades et les soutiens extérieurs de continuer les chantiers de construction dans la joie et la détermination. La D281 est toujours sous le contrôle des copain-ne-s de la zone est de la ZAD, renommée « zone sabocage », grâce à de multiples chicanes et par leur présence 24/24h à côté de ces dernières. Un véritable village est d’ailleurs en train de se développer dans cette zone, comme à la châtaigneraie, cela vaut vraiment le coup d’oeil !

Mais la vigilance est de mise car on connait maintenant la détermination, assez tordue d’ailleurs ( ils ont pas compris qu’on reviendra sans cesses réoccuper la zone?! :)  du Parti socialo-capitalo à vider Notre Dame Des Landes de ses dangereux « ultra-gauchistes« (sic). Qui sont les ultras dans l’histoire au fait ?…

Le jugement pour la Chataigneraie (zone ouest de la ZAD) étant donc reporté au 11, on s’attend surement à ce que cela chauffe sérieusement sur la ZAD à partir de ce moment là. La zone est de la ZAD étant déjà expulsable, cela renforce le danger d’une expulsion de masse.

Mais plus on sera nombreux/se-s, plus leur opération militaire sera perturbée ! Ce qui laissera aussi le temps à la solidarité de se mettre en place.

C’est pourquoi nous appelons une nouvelle fois à un soutien massif sur la ZAD à partir du 10 au soir, ou du 11 au petit matin, afin de les empêcher de faire leur sale boulot tranquillement !

Ils auront beau être 2000 et équipés de leurs armes de mutilations, nous avons le bocage, la rage et la détermination de sauver la ZAD, avec nous !

Leur politique de la terre brûlée ne passera pas ! Résistance !

Des membres du collectif de lutte contre l’aéroport de NDDL

Pour rappel, ce samedi 08/12 est prévu une grande manif contre le projet d’aéroport de NDDL et contre tous leurs autre projets inutiles : https://nantes.indymedia.org/article/26713

Et puis que les autorités n’oublient pas cela : « Contre l’aéroport et son monde : s’ils détruisent notre lieu d’organisation, nous occuperons les leurs ! »

 

Pour des infos régulières de la situation sur place, consultez régulièrement le site internet des camarades occupant-e-s de la ZAD : http://zad.nadir.org/

N’oubliez pas de bien lire la carte de la ZAD et de l’imprimer avant de venir sur place :

121120100608936631

Infos utiles avant de se rendre sur la ZAD : http://zad.nadir.org/spip.php?article357

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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 14:51

 

Les Indriens se mobilisent pour soutenir les résistants qui s'opposent au projet d'aéroport de Notre Dame des Landes


Samedi 10 Novembre à 10h, sur le marché de la place de la République à Châteauroux

 

Un stand sera dressé pour : informer, récupérer des dons en matériel et financier, présenter la situation à travers un diaporama, organiser le déplacement pour la manifestation nationale du 17 novembre prochain. Une militante qui séjourne régulièrement à NDDL sera présente et pourra témoigner de ce qui s'y passe réellement .

Ceux qui continuent sur place à résister malgré la répression, les intempéries ont besoin :

  • de matériel de reconstruction : pointes, clous, outils, matériel électrique etc ,,,

  • de duvets, couverture, vêtements chauds ,,,,

  • de nourriture : céréales, légumes secs, café ,,,,

  • matériels médicaux : pansements, compresses, antiseptiques....

 

tract-appel-NDDL-Chtx.jpg

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 10:25

Notre-Dame des Landes

Face aux expulsions : manifestation de réoccupation !

Pour reconstruire - contre l’aéroport !

 


Fourches, poutres, planchettes, clous et outils en main...  

Rendez-vous le 17 novembre dans la matinée.

Pour télécharger les affiches, tracts et pour consulter les informations qui restent à définir : http://zad.nadir.org/

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 11:33

 

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 11:29

 

Le sénateur et maire UMP de Châteauroux a signé une pétition contre le droit de vote des étrangers, proposée par une association proche du Bloc Identitaire.

 

J'ai signé deux choses : la pétition contre le vote des immigrés. C'est ma position et je l'assume. Et j'ai aussi paraphé le manifeste de Roger Karoutchi qui réclame un référendum sur le sujet du vote des immigrés. Jean-François Mayet, sénateur et maire UMP de Châteauroux, assume la signature de la pétition provenant de l'association Nationalité-Citoyenneté-Identité. Je n'ai sans doute pas mesuré la portée de cette signature. Et j'affirme haut et fort mon horreur des extrêmes, de droite comme de gauche.  ... bla bla

l'article NR complet

 

Maillet-signature-.jpg

 

 

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 11:09

La police travaille à Athènes

Des militants anti-fascistes « torturés par la police » après des affrontements avec l’Aube Dorée

Je traduis ici un article paru le 9 octobre dans le Guardian.

Quinze personnes arrêtées à Athènes ont dit avoir été sujet à ce que leur avocat décrit comme une humiliation du type “Abu Ghraib”.

http://juralib.noblogs.org/files/2012/10/0211.jpg

 

Quinze manifestants antifascistes arrêtés à Athènes lors d’un affrontement avec des partisans du parti néo-nazi Aube Dorée ont rapporté qu’ils avaient été torturés à la Direction générale de la police de l’Attique (GADA) — l’équivalent Athénien de Scotland Yard.

Plusieurs des manifestants arrêtés après la première manifestation le dimanche 30 septembre ont déclaré au Guardian avoir été giflés et frappés par un officier de police pendant que cinq ou six autres regardaient. Ceux-ci leur crachaient dessus et les utilisaient comme cendrier parce qu’ils puaient. Ils disent par ailleurs avoir été maintenus éveillés toute la nuit à l’aide de torches et de lasers pointés vers leurs yeux.

Certains ont rapporté avoir été brûlés sur les bras à l’aide d’un briquet. Les officiers de police les filmaient sur leurs téléphones, menaçant de publier ces images sur internet et de donner leur adresse de résidence à l’Aube Dorée.

La popularité de l’Aube Dorée explose depuis les élections du mois de juin au cours desquelles ce parti avait remporté 18 sièges au parlement. Il est récemment arrivé troisième dans plusieurs sondages derrière Nouvelle Démocratie et Syriza.

Le mois dernier, le Guardian rapportait que la police conseillait à des victimes de faire appel à l’Aube Dorée, des victimes qui se sentaient alors obligées de faire des donations au groupe néo-nazi.

Une des deux femmes détenues a rapporté avoir été l’objet d’insultes très dures de la part des policiers, qui lui tiraient la tête en arrière quand elle essayait de ne pas être filmée. Les manifestants ont déclaré qu’ils avaient été privés d’eau potable et d’accès à un avocat pendant 19 heures. Nous avions tellement soif que nous buvions l’eau des toilettes a-t-elle confié.

Un homme blessé à la tête et au bras durant son arrestation assure que la police continuait à le taper et lui refusait tout traitement médical jusqu’au lendemain matin. Un autre manifestant affirme que la police lui maintenait les jambes écartées et le frappait dans les testicules pendant l’arrestation.

Ils m’ont craché dessus et dit que nous mourrions comme nos grands-parents durant la guerre civile a-t-il déclaré.

 

http://juralib.noblogs.org/files/2012/10/0311.jpg

 

Un troisième détenu raconte avoir été “tazé” dans la colonne vertébrale alors qu’il tentait de s’enfuir ; la brûlure est toujours visible. C’est comme une décharge électrique confie t-il. Mes jambes étaient paralysées quelques minutes puis je suis tombé. Ils m’ont menotté derrière le dos et commencé à me frapper dans les côtes, dans la tête. Ils m’ont ensuite ordonné de me lever, mais je ne pouvais pas. Ils m’ont donc tiré par les menottes alors que je me tenais sur les genoux. Ils ont continué à me frapper pendant cinq patés de maisons jusqu’à ce qu’on atteigne la voiture de patrouille.

Les militants ont demandé à ce que leurs noms ne soient pas publiés, par peur de représailles de la police ou de l’Aube Dorée.

Un second groupe de manifestants a également dit avoir été torturé à la GADA. Nous avons tous dû passer devant un officier qui nous a fait nous déshabiller dans le couloir, nous pencher et écarter notre derrière devant tout ceux qui étaient là a confié l’un d’eux au Guardian. Il faisait ce qu’il voulait avec nous — nous giffler, nous frapper, nous dire de ne pas le regarder, de ne pas s’asseoir les jambes croisées. Les autres officiers qui passaient par là ne faisaient strictement rien.

Tout ce qu’on pouvait faire c’était se regarder du coin des yeux pour se donner du courage les uns aux autres. Il nous a laissé là pendant plus de deux heures. Il répondait à son telephone et disait « Je suis au travail et je les baise, je les baise comme il faut ». En fin de compte seulement quatre d’entre nous ont été inculpés pour avoir résisté à notre arrestation. C’était un jour hors du temps, en plein dans la dictature des colonels.

En réponse à ces allégations, Christos Manouras, porte-parole de la police hellénique, a déclaré : Il n’y a pas eu recours à la force dans GADA. La police grecque enquête en profondeur sur chacun des rapports qui porte sur une utilisation présumée de la violence par la police ; et si l’accusation est fondée, la police prend des mesures disciplinaires correspondantes contre les officiers responsables. Il ne fait aucun doute que la police grecque a toujours respecté les droits de l’homme (…)

La manifestation de dimanche avait eu lieu suite à la vandalisation d’un Centre Communautaire Tanzanien par un groupe de 80 à 100 personnes dans un quartier du centre d’Athènes près d’Aghios Panteleimon, bastion de l’Aube Dorée où de nombreuses attaques contre des migrants ont été recensées.

Selon les manifestants, environ 150 personnes rodaient dans tout le quartier sur des motos en distribuant des tracts. La bagarre a éclaté lorsqu’ont été aperçus deux ou trois hommes munis du T-shirt de l’Aube Dorée à la tête de la parade. C’est alors qu’un nombre important de policiers a immédiatement fondu sur eux, venant des rues environnantes. Manouras : Au cours de la manifestation, il y a eu des affrontements entre les manifestants et les riverains. La police est intervenue pour empêcher que ça ne dégénére et pour rétablir l’ordre public. Il peut y avoir eu quelques blessures mineures lors des affrontements entre les riverains, les militants, et la police.

Selon Marina Daliani, l’avocate de l’un des 15 détenus, ceux-ci se font fait inculper pour trouble à l’ordre public le visage couvert (ils portaient des casques de moto) et pour infliction de lésions corporelles graves contre deux personnes. Mais, dit-elle, aucune preuve d’un tel préjudice n’a encore été soumise. Les militants ont été relachés sous caution (3.000 € chacun).

Charis Ladis, l’avocat d’un autre manifestant, assure que les mauvais traitements infligés aux Grecs en garde à vue était quelque chose de rare jusqu’à cette année : Cette affaire montre qu’une page a été tournée. Jusqu’à présent, il existait une idée commune selon laquelle quelqu’un qui était arrêté, même violemment, serait en sécurité en garde à vue. Mais ces jeunes hommes ont tous dit qu’ils ont vécu un cauchemar.

Pour Dimitris Katsaris, l’avocat de quatre des manifestants, ses clients ont été humiliés d’une manière qui ressemble à celle utilisée à Abou Ghraïb, ce centre de détention où les Irakiens étaient torturés par des soldats américains pendant la guerre en Irak. Ce n’est pas juste une affaire de brutalité policière du genre de celles dont on entend parler de temps en temps en Europe. C’est ce qui arrive tous les jours. Nous avons des images, nous avons la preuve que c’est cela qui arrive aux gens qui se font arrêter en militant contre la montée du parti néo-nazi en Grèce. C’est le nouveau visage de la police, qui va de pair avec le système judiciaire.

L’un des manifestants arrêtés, un homme calme d’une trentaine d’années : Les journalistes ici ne parlent pas ce genre de choses. Vous devez leur dire ce qui arrive, dans ce pays qui a déjà trop souffert du nazisme. Personne n’y paiera attention sauf si vous en parlez à l’étranger.

Traduit de l’anglais par Mehdi Zaaf – blog Mediapart, 9 octobre 2012

 

 

 

https://juralib.noblogs.org/2012/10/11/la-police-travaille-a-athenes

 

 

Complément :

 

Le mois dernier, l’un de ses leaders a fait irruption avec un groupe d’hommes sur un marché et demandé à voir les permis de travail des vendeurs qui avaient un faciès d’étranger. Ils en ont profité pour mettre à sac quelques stands. Les commerçants ont rapporté que la police était restée là sans bouger le petit doigt.

 
Après plusieurs incidents de ce type, le gouvernement a décidé d’arrêter la protection policière dont bénéficient les députés d’Aube Dorée depuis leur entrée au Parlement. De nombreux groupes de défense des droits de l’Homme reprochent toutefois à la police de faire preuve de trop de laxisme à l’endroit d’Aube Dorée et même de décourager les personnes victimes de violence de porter plainte. Pire encore, une vidéo amateur réalisée en début d’année montre des policiers prendre part à des violences contre des immigrés.
 
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